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References (76)

  1. Faites coexister ces deux notions sur un même diagramme en en proposant une générali- sation. Un répertoire peut contenir des répertoires et des fichiers.
  2. Une voiture possède quatre roues.
  3. Une école possède des salles de cours. Parfois, plusieurs écoles peuvent se partager une même salle.
  4. Une souris et un clavier sont des périphériques d'entrée.
  5. Une transaction boursière est un achat ou une vente.
  6. Un compte bancaire peut appartenir à une personne physique ou morale (sans utiliser de relation de généralisation).
  7. Un compte bancaire peut appartenir à une personne physique ou morale (en utilisant une relation de généralisation).
  8. Deux personnes peuvent être mariées (avec une association réflexive). Deux personnes mariées sont de sexes opposés.
  9. Deux personnes peuvent être mariées (avec relation de généralisation). Deux personnes mariées sont de sexes opposés.
  10. Deux personnes peuvent être mariées ou pacsées.
  11. Deux personnes peuvent être mariées ou pacsées. Un pacs est caractérisé par une date et un lieu. Un mariage est caractérisé par une date, un lieu et un contrat.
  12. Un cours (intitulé, date, heure) est dispensé par un enseignant à un groupe d'étudiants dans une salle. Un enseignant peut donner plusieurs cours à un même groupe dans une même salle. Votre modélisation devra comporter les classes Cours, Enseignant, Groupe et Salle.
  13. Un ouvrage comporte un titre et un auteur. Un ouvrage est toujours édité par un éditeur. Un ouvrage peut être édité plusieurs fois pas forcément par le même éditeur. Chaque édition possède un numéro d'édition, un numéro ISBN et une date d'édition.
  14. 7.3 Interfaces / héritage multiple Les étudiants sont des personnes qui peuvent s'inscrire et se désinscrire à l'université.
  15. L'université propose un certain nombre de cours. Les enseignants sont des personnes qui dispensent des cours à l'université. Comme les étudiants, les doctorants peuvent s'inscrire et se désinscrire à l'université et comme les enseignants, ils peuvent dispenser des cours. 19. Proposez plusieurs modélisations de cette situation faisant intervenir ou non les notions d'héritage multiple et d'interfaces.
  16. 7.4 Classes / Objets / Implémentation F. 3.26 -Relation écrivain-livre très simplifiée.
  17. Proposez une implémentation en Java du diagramme de classes de la figure 3.26. Sur ce diagramme, les méthodes d'accès ne figurent pas, mais tous les attributs de ce diagramme doivent en posséder.
  18. 'un des deux diagrammes d'objets proposés ci-dessus.
  19. 'état composite, c'est-à-dire entrer par l'état initial par défaut et considérer les traitements finis quand l'état final est atteint, aucun problème ne se pose car on utilise des transitions ayant pour cible, ou pour source, la frontière de l'état composite. Dans ce cas, les points de connexion sont inutiles. Le problème se pose lorsqu'il est possible d'entrer ou de sortir d'un état composite de plusieurs façons. C'est, par exemple, le cas lorsqu'il existe des transitions traversant la frontière de l'état composite et visant directement, ou ayant pour source, un sous-état de l'état composite. Dans ce cas, la solution est d'utiliser des points de connexion sur la frontière de l'état composite. Les points de connexion sont des points d'entrée et de sortie portant un nom, et situés sur la frontière d'un état composite. Ils sont respectivement représentés par un cercle vide et un cercle barré d'une croix (cf. figure 5.15). Il ne s'agit que de références à un état défini dans l'état composite . Une unique transition d'achèvement, dépourvue de garde, relie le pseudo-état source (i.e. le point de connexion) à l'état référencé. Cette transition d'achèvement n'est que le prolongement de la transition qui vise le point de connexion (il peut d'ailleurs y en avoir plusieurs). 'états-transitions permettent de décrire efficacement les mécanismes concurrents grâce à l'utilisation d'états orthogonaux. Un état orthogonal est un état composite comportant plus d'une région, chaque région représentant un flot d'exécution. Graphiquement, 6.3. NOEUD EXÉCUTABLE
  20. 3 Noeud exécutable (executable node) Un noeud exécutable est un noeud d'activité qu'on peut exécuter (i.e. une activité). Il possède un gestionnaire d'exception qui peut capturer les exceptions levées par le noeud, ou un de ses noeuds imbriqués.
  21. 'unité fondamentale de fonctionnalité exécutable dans une activité. L'exécution d'une action représente une transfor- mation ou un calcul quelconque dans le système modélisé. Les actions sont généralement liées à des opérations qui sont directement invoquées. Un noeud d'action doit avoir au moins un arc entrant. Graphiquement, un noeud d'action est représenté par un rectangle aux coins arrondis (figure 6.4) qui contient sa description textuelle. Cette description textuelle peut aller d'un simple nom à une suite d'actions réalisées par l'activité. UML n'impose aucune syntaxe pour cette description textuelle, on peut donc utiliser une syntaxe proche de celle d'un langage de programmation particulier ou du pseudo-code.
  22. F. 6.5 -Représentation particulière des noeuds d'action de communication. Certaines actions de communication ont une notation spéciale (cf. figure 6.5). UML 2 -Laurent Audibert -http://laurent-audibert.developpez.com/Cours-UML/
  23. 'activité exécutable qui représente une por- tion structurée d'une activité donnée qui n'est partagée avec aucun autre noeud structuré, à l'exception d'une imbrication éventuelle. Les transitions d'une activité structurée doivent avoir leurs noeuds source et cible dans le même noeud d'activité structurée. Les noeuds et les arcs contenus par noeud d'activité structuré ne peuvent pas être contenus dans un autre noeud d'activité structuré. Un noeud structuré est dénoté par le stéréotype « structured » et identifié par un nom unique décrivant le comportement modélisé dans l'activité structurée. Graphiquement, le contour d'un noeud d'activité structurée est en pointillé. Une ligne hori- zontale en trait continu sépare le compartiment contenant le stéréotype « structured » et le nom de l'activité structurée du corps de l'activité structurée.
  24. 'activité abstrait utilisé pour coordonner les flots entre les noeuds d'une activité. c'est que le modèle est mal formé. L'utilisation d'une garde [else] est recommandée après un noeud de décision car elle garantit un modèle bien formé. En effet, la condition de garde [else] est validée si et seulement si toutes les autres gardes des transitions ayant la même source sont fausses. Dans le cas où plusieurs arcs sont franchissables (i.e. plusieurs conditions de garde sont vraies), seul l'un d'entre eux est retenu et ce choix est non déterministe. Graphiquement, on représente un noeud de décision par un losange (cf. figure 6.6). contrôle qui rassemble plusieurs flots alternatifs entrants en un seul flot sortant. Il n'est pas utilisé pour synchroniser des flots concurrents (c'est le rôle du noeud d'union) mais pour accepter un flot parmi plusieurs. Graphiquement, on représente un noeud de fusion, comme un noeud de décision, par un losange (cf. figure 6.
  25. 6, ou avec une activité. Cependant, pour mieux mettre en évidence un branchement conditionnel, il est préférable d'utiliser un noeud de décision (losange).
  26. plusieurs flots concurrents. Un tel noeud possède donc un arc entrant et plusieurs arcs sortants. On apparie généralement un noeud de bifurcation avec un noeud d'union pour équilibrer la concurrence (cf. figure 6.
  27. syn- chronise des flots multiples. Un tel noeud possède donc plusieurs arcs entrants et un seul arc sortant. Lorsque tous les arcs entrants sont activés, l'arc sortant l'est également. Graphiquement, on représente un noeud de union, comme un noeud de bifurcation, par un trait plein (cf. figure 6.2). 'union, et donc d'avoir un trait plein possédant plusieurs arcs entrants et sortants (cf. figure 6.6). 6.5. NOEUD D'OBJET
  28. 5 Noeud d'objet (object node)
  29. 'activités. Or, les flots de données n'apparaissent pas et sont pourtant un élément essentiel des traitements (arguments des opérations, valeurs de retour, . . .). retour, on utilise des noeuds d'objets appelés pins (pin en anglais) d'entrée ou de sortie. L'activité ne peut débuter que si l'on affecte une valeur à chacun de ses pins d'entrée. Quand l'activité se termine, une valeur doit être affectée à chacun de ses pins de sortie. Les valeurs sont passées par copie : une modification des valeurs d'entrée au cours du traitement de l'action n'est visible qu'à l'intérieur de l'activité. Graphiquement, un pin est représenté par un petit carré attaché à la bordure d'une activité (cf. figure 6.7). Il est typé et éventuellement nommé. Il peut contenir des flèches indiquant sa direction (entrée ou sortie) si l'activité ne permet pas de le déterminer de manière univoque.
  30. 5.3 Pin de valeur (value pin) Un pin valeur est un pin d'entrée qui fournit une valeur à une action sans que cette valeur ne provienne d'un arc de flot d'objets. Un pin valeur est toujours associé à une valeur spécifique. Graphiquement, un pin de valeur se représente comme un pin d'entrée avec la valeur associée écrite à proximité.
  31. 'entrée est, par définition même des pins, un flot d'objets (en haut de la figure 6.8). Dans cette configuration, le type du pin récepteur doit être identique ou parent (au sens de la relation de généralisation) du type du pin émetteur. Il existe une autre représentation possible d'un flot d'objets, plus axée sur les données proprement dites car elle fait intervenir un noeud d'objet détaché d'une activité particulière (en bas de la figure 6.8). Graphiquement, un tel noeud d'objet est représenté par un rectangle dans lequel est mentionné le type de l'objet (souligné). Des arcs viennent ensuite relier ce noeud d'objet à des activités sources et cibles. Le nom d'un état, ou d'une liste d'états, de l'objet peut UML 2 -Laurent Audibert -http://laurent-audibert.developpez.com/Cours-UML/
  32. 'événement d'envoi est connu, mais pas l'événement de réception. Il se représente par une flèche qui pointe sur une petite boule noire (figure 7.12). Un message trouvé est tel que l'événement de réception est connu, mais pas l'événement d'émission. Une flèche partant d'une petite boule noire représente un message trouvé (figure
  33. 13 -Représentation d'un objet actif (à gauche) et d'une exécution sur un objet passif (à droite). Un objet actif initie et contrôle le flux d'activités. Graphiquement, la ligne pointillée verticale d'un objet actif est remplacée par un double trait vertical (cf. figures 7.13). Un objet passif, au contraire, a besoin qu'on lui donne le flux d'activité pour pouvoir exécuter une méthode. La spécification de l'exécution d'une réaction sur un objet passif se représente par un rectangle blanc ou gris placé sur la ligne de vie en pointillée (cf. figures 7.13). Le rectangle peut éventuellement porter un label. F. 7.14 -Représentation d'une exécution simultanée (à gauche).
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  61. «->» . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 92
  62. «.» . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 92 «: :» . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 92 Opérateur alt . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 144 loop . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 144 opt . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 144 par . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 146 strict . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 146
  63. Opération . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 46 implémentation en Java . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 65 implémentation en SQL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 69
  64. P Paquetage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35 représentation graphique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35
  65. Partitions (diagramme d'activités) . . . . . . . . . . . . . . . 127 Pin d'entrée (diagramme d'activités) . . . . . . . . . . . 125 de sortie (diagramme d'activités) . . . . . . . . . . . 125 de valeur (diagramme d'activités) . . . . . . . . . . 125
  66. Point de choix . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 105-107 point de décision . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 107 point de jonction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 105
  67. Point de décision . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 107
  68. Point de jonction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 105
  69. Points de connexion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 110
  70. Polymorphisme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22 Port (diagramme de composants) . . . . . . . . . . . . . . . . 152
  71. Porte . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 143
  72. Propriété (terminaison d'association) . . . . . . . . . . . . . 52 Propriétés d'une classe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 46 structurelles d'une classe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 46
  73. Q Qualificatif . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 55 R Relation instance . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 63 Relation d'agrégation classe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 59 implémentation en Java . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 68 représentation graphique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 59 Relation d'association acteur ↔ cas d'utilisation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31 binaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 52 cardinalité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 53 classe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 52-59 implémentation en Java . . . . . . . . . . . . . . . . . . 66-68 implémentation en SQL . . . . . . . . . . . . . . . . . . 69-71 multiplicité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31, 53 n-aire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 53 navigabilité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 54 qualificatif . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 55 représentation graphique . . . . . . . . . . . . . 31, 52, 53
  74. Relation d'association qualifiée classe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 55 Relation d'extension cas d'utilisation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 33 Relation d'héritage classe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 60 implémentation en SQL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 71 représentation graphique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 60 Relation d'inclusion cas d'utilisation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 33
  75. Relation de composition classe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 60 implémentation en Java . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 68 représentation graphique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 60
  76. Relation de dépendance UML 2 -Laurent Audibert -http://laurent-audibert.developpez.com/Cours-UML/
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Ce chapître reprend brièvement quelques éléments de la théorie des probabilités que vous avez vu auparavant. Nous essayons de redonner les principaux outils qui serviront dans ce cours de manière informelle. Nous vous renvoyons à votre cours de probabilité pour des définitions plus rigoureuses. Une variable aléatoire X désigne le résultat d'une expérience aléatoire, telle le résultat d'un lancer de dé, la durée de vie d'une clef usb, l'intention de vote aux prochaines élections, etc. Il existe différents types de variables : Les variables quantitatives. Parmi celles-ci, on peut distinguer les variables discrètes, qui ont un nombre fini de modalités, des variables continues : discrètes : résultat d'un tirage de dé, nombre de bugs dans un programme, nombre de contr ôles dans le tramway sur une année. . . continues : âge d'un étudiant, durée de vie d'un système, taux d'un composant chimique dans une solution. . . Par exemple la couleur des yeux d'une personne, le résultat à la question Aimez-vous les repas au resto U ? ou Pour qui allez-vous voter aux prochaines élections ? La première démarche à faire face à un problème donné est d'identifier quelle est la variable aléatoire que l'on va considérer et de quel type est cette variable. Ensuite, nous allons essayer de caractériser cette variable. La loi de probabilité d'une variable aléatoire X permet de déterminer comment se répartit X. Dans le cas d'une variable discrète, notons X = {e 1 , e 2 , . . .} l'ensemble des valeurs prises par X. Alors pour caractériser la loi de X on donne l'ensemble des valeurs de P(X = e i ), pour i = 1, 2, . . . Si la variable est quantitative, discrète ou continue, on peut caractériser la loi de X par la fonction de répartition : Dans le cas des variables aléatoires continues, on manipule aussi souvent la fonction de densité f , dérivée de F : pour tout (a, b), P(X ∈ [a, b]) = [a,b] f (x)dx. Nous verrons dans ce cours comment évaluer ces grandeurs ou ces fonctions caractérisant la loi d'une variable à partir d'observations.

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